Trois jours de stage trail dans les Pyrénées

Cela fait des mois que je n’ai pas écrit de compte rendu de course… Pour ne pas trop perdre la main d’ici au mois d’octobre (objectif : Trail des Templiers), j’ai voulu partager avec vous mon expérience de ces trois jours passés les baskets à la montagne et la tête dans les nuages !

Je ne suis pas partie seule dans cette aventure, j’étais accompagnée de Stéphane (Coach) et Olivier. Nous avons voulu suivre ce stage dans le cadre de notre prépa, Olivier pour la Diago, Coach et moi pour les Templiers.

J’ai profité de ces trois jours pour mettre en pratique mes connaissances en nutrition pour les sportifs d’endurance mais surtout pour tester des produits et voir les différentes possibilités de prise alimentaire.

J’ai de nouveau tenté le format vidéo que vous retrouverez en bas de l’article =)

Jour 1 – 20 km, 1 470 D+, 4 h 00

4 heures, le réveil sonne, je n’ai presque pas dormi… L’excitation de retrouver les montagnes était trop grande, la peur aussi de ne pas réussir à enchaîner les trois jours est là… et si je n’arrivais pas à les suivre ? Si je ralentissais leurs sorties… ?

4 h 30, un dernier bisou à l’amoureux qui dort comme un bébé, je finis de charger mes affaires dans le camion et file chercher mes deux camarades.

5 h 00, on prend la route, pas un chat, on va pouvoir rouler tranquille et espérer arriver à l’heure à Barèges. La route des Landes est longue et la courte nuit n’aide pas. À mesure qu’on se rapproche de l’arrivée, on entre dans un épais brouillard. On consulte à plusieurs reprises le GPS… pour finir par s’apercevoir que l’on n’arrivera jamais à l’heure au rendez-vous avec le guide. On relance le GPS, nouvel itinéraire, et une arrivée possible à la bonne heure (bizarre…). On commence à prendre la montée du Tourmalet avec les nombreux cyclistes en pleine ascension. Il ne reste plus que quelques kilomètres avant d’arriver mais nous sommes bloqués au village de La Mongie. On nous demande de faire demi-tour et revenir sur nos pas… Une heure de route pour refaire le tour de la montagne ! Ah, non ! On gare le camion, Coach appelle le guide, lui explique la situation, on comprend rapidement que l’on s’est bien trompés d’itinéraire, mais, par chance, il peut nous rejoindre plus rapidement. On s’équipe, petite pause-café et arrive Mathieu, notre guide pour ces trois prochains jours.

Il doit modifier un peu le parcours prévu initialement mais nous monterons quand même au Pic du Midi aujourd’hui.

Allez, c’est parti !

1 à 5 km – On démarre dans le village à la recherche du chemin qui nous mène à la montagne. Chemin trouvé, on trottine sur un faux plat montant entre cailloux et fourrés.

5 à 10 km – C’est parti, ça grimpe ! J’agrippe mes bâtons et tente de tenir la cadence. Wahou ! C’est trop beau ! J’ai dû dire ça toutes les cinq minutes. Arrêt photo et vidéo toutes les 15 minutes. À chaque petit virage c’est un nouveau paysage beau à couper le souffle, un sourire jusqu’aux oreilles à chaque instant. On croise plusieurs coureurs qui redescendent du Pic du Midi, j’entends : « Salut Pauline… » On tape tous un arrêt dans la montée ! « Hé c’est qui ? » Nicolas, un ami des réseaux, décidément le monde est petit, ça amuse les trois garçons qui ne comprennent pas que l’on puisse me reconnaître en plein milieu des montagnes. Bon, je vous avoue que je ne m’y attendais pas non plus…

10 à 15 km – On arrive au Pic du Midi, au 12e km la vue est dingue, on en profite pour prendre photos et vidéos et se poser un instant. J’enfile mon coupe-vent mais le soleil fait très rapidement son apparition, on repart sous un beau et grand soleil.

On profite de cette première petite journée pour faire un peu plus connaissance avec notre guide. Mathieu est un accompagnateur certifié de moyenne montagne qui, depuis quatre ans avec sa femme, accompagne des groupes en randonnée ou trail dans les Pyrénées. Il coache aussi des trailers qui viennent régulièrement faire des stages en montagne avec lui.

J’ai beaucoup parlé avec lui de sa formation et c’est vraiment rassurant quand on connaît les épreuves qu’il a dû passer pour obtenir son diplôme, on se sent bien plus en sécurité.

15 à 20 km – On redescend tranquillement vers notre point de départ. La descente est assez technique, il faut le temps que mes pieds trouvent leurs marques entre les cailloux et le dévers, j’y vais à tâtons, pas toujours sûre de mes appuis.

On arrive déjà au camion, le temps est passé bien trop vite à mon goût, il nous reste encore deux jours à enchaîner, ce n’est pas la peine de nous épuiser dès le premier jour.

On passera la soirée et la nuit dans un gîte près de Barèges au… exactement. Mathieu dormira aussi sur place, le départ pour le deuxième jour étant prévu aux aurores pour ne pas subir trop rapidement les fortes chaleurs prévues dans la journée.

Le soir, nous mangeons sur place un délicieux repas préparé par nos hôtes, un plat de lasagnes que je ne suis pas près d’oublier !

Côté nutrition et ravitaillement

Pour cette sortie, j’ai décidé de m’alimenter dès le début en alternant un gel et une barre toutes les 30 minutes (un gel à 30 minutes, une barre à 1 heure, un gel à 1 h 30…). J’ai pris deux barres protéinées à mi-course au Pic du Midi.

Je n’ai ressenti aucun coup de fatigue. J’ai pu m’alimenter tout au long de la sortie sans problème. J’ai bu une à deux gorgées d’eau toutes les 15 minutes. Les gels me chauffaient de temps en temps la gorge et le ventre mais rien d’alarmant.

J’ai consommé 1,5 litre d’eau plate j’ai fini les 20 dernières minutes de la sortie à sec.

Jour 2 – 35 km, 2 060 D+, 8 h 15

5 h 30 – Le réveil n’a pas encore sonné que j’ai déjà les yeux grands ouverts et les jambes qui demandent à bouger… Je profite d’être la première debout pour me préparer. Mathieu file nous faire du café pendant que l’on finit de se préparer, les jambes sont en pleine forme, même après une courte nuit.

6 heures – Chacun prend son petit-déjeuner, je mange la préparation que j’avais préparée à la maison : flocons d’avoine, graines de chia, protéines en poudre saveur chocolat ; une banane et un grand café suivi d’un thé.

6 h 30 – On file en voiture rejoindre notre point de départ pour la sortie du jour.

6 h 45 – C’est parti, aujourd’hui trois cols en perspective !

1 à 5 km – On attaque direct dans le dur. À peine quelques foulées pour trottiner et j’enclenche déjà mes dragonnes aux bâtons, c’est parti ; un pied devant l’autre. Le souffle me manque sur cette première heure, j’essaie de tenir l’allure pour ne pas être trop distancée par mes camardes. Le café et le thé pris ce matin m’obligent à m’arrêter de nombreuses fois, des pauses pipi avec cette vue-là, moi, je ne m’en lasse pas ; P

5 à 10 km – On arrive au lac de Coueyla Gran. On en profile pour recharger un peu en eau, le paysage est magnifique ! Le lac est bordé par de nombreux campeurs et mis à part un mec qui fait tourner son drone au-dessus de nos têtes (ce qui semble agacer pas mal de monde) il n’y a pas un bruit. On ne s’attarde pas trop, il nous reste encore la partie la plus raide et technique à monter avant notre premier sommet ! Après deux heures de marche et 9 km, nous arrivons au premier pic Hourquette Nère à 2 465 m d’altitude. Il est tout juste 9 heures et le soleil commence doucement à nous réchauffer. Mes yeux sont remplis d’étoiles !

10 à 15 km – Après une rapide pause, on entame la descente en direction des nombreux lacs que nous avons vus plus haut. On passe de lac en lac, les campeurs sont encore pour la plupart au petit-déjeuner. Le terrain et plutôt vallonné, je garde mes bâtons à la main et m’en sers dès que la pente devient trop raide.

15 à 20 km – On arrive au refuge près du Lac du Milieu (oui, c’est son nom…), on remplit les flasques d’eau et on continue la descente, elle est plus ou moins raide, mais nous pouvons courir assez facilement. On arrive rapidement au lac de l’Oule, on trottine tranquillement pour en faire presque le tour et prendre le chemin de la nouvelle ascension.

20 à 25 km – La pente est impressionnante ! Plus de 20 % ! C’est raide à monter, il fait très chaud et heureusement, nous sommes à l’abri du soleil sous les pins. Coach fait une pause à mi-parcours, on en profite pour manger un peu et reprendre des forces sous un gros sapin à l’abri de la chaleur. On arrive au col d’Estoudou à 2 260 m d’altitude. C’est magnifique, de la montagne à perte de vue… On peut voir depuis ce col le prochain que nous allons gravir, il est encore plus haut… Mais avant, il faut redescendre sur le Lac d’Aumar où l’on retrouve des vaches qui s’y trempent les sabots.

25 à 30 km – Après avoir trottiné quelques kilomètres, nous voilà repartis dans les rochers vers le dernier col de la journée. J’ai une forme olympique, j’ai un sourire béat depuis ce matin ! J’ai l’impression d’être au bon endroit au bon moment et d’aimer ce qui m’arrive. Je profite de chaque instant. Le dernier col et bien moins difficile à mon goût, la pente est plus douce et j’arrive à garder une bonne cadence jusqu’au col d’Hourquette d’Aubert à 2 498 m d’altitude. On a déjà gravi tous les cols, il est temps de redescendre de la montagne et de rejoindre le véhicule. La descente est encore longue, plutôt technique au début, je marche plus que je ne cours.

30 à 35 km – On aperçoit de mieux en mieux le point d’arrivée et on finit sur une piste qui nous permet d’allonger la foulée facilement. Le lieu est beaucoup plus touristique, on se faufile à travers les groupes de randonneurs. Ici tout le monde est heureux d’être à la montagne, les gens nous laissent facilement passer et, à chaque arrêt, on discute avec les marcheurs. Il fait par contre de plus en plus chaud, et arrivés au parking on est vraiment heureux de trouver le bar ouvert pour se désaltérer avant de rejoindre le gîte.

Mathieu ne passe pas la nuit avec nous, il nous rejoindra le lendemain matin après notre petit-déjeuner. Le soir nous avons droit à de bons légumes farcis maison et une pomme rôtie au four. Les jambes étrangement sont très bien mais, clairement, on sait que l’on ne va bien dormir =)

Côté nutrition et ravitaillement

Cette fois-ci je me suis alimentée après une heure d’effort (aucune prise de gel ou autre la première heure de course). J’ai, comme hier, alterné toutes les 30 minutes mais en remplacement des gels j’ai pris de la purée de fruits ou une purée d’oléagineux et, comme toujours, des barres l’autre demi-heure. Je n’ai ressenti aucun coup de mou pendant les huit heures de sortie. Bien au contraire, j’ai toujours eu la pêche, une envie folle de continuer dans l’effort et aucun problème au niveau de la digestion.

Pour l’eau, j’ai bu comme d’habitude toutes les 15 minutes, une à deux gorgées. J’ai dû boire en tout 2,5 litres. Je prends bien la précaution de boire un peu avant et après avoir pris un encas solide (barre, purée de fruits…) pour aider à une meilleure digestion et assimilation.

Jour 3 – 23,5 km, 1 582 D+, 6 h 15

6 h 30 – Le réveil n’a pas encore sonné et je suis déjà bien réveillée. Je suis impressionnée par la faculté de récupération de mon corps après l’effort, j’ai encore moins de courbatures qu’hier matin. Mon corps serait-il dépendant à l’effort ? Il faut dire que depuis que j’aide l’amoureux sur les chantiers toute la semaine, j’ai un regard sur l’effort bien différent, je récupère bien plus rapidement et j’ai beaucoup mois de coups de fatigue, enfin si… mais seulement sur les chantiers ; p

7 h 00 – On met toutes nos affaires dans le camion, prêts à repartir une fois la sortie de la journée terminée.

7 h 15 – Le petit-déjeuner est servi, j’ai une faim de loup ! Je prends ce que j’ai apporté de la maison : avoine, chia, whey goût chocolat avec trois tartines de pain grillé au beurre et miel et deux grosses tranches de brioche maison… Ah si… j’allais oublier : une banane et pour faire passer tout ça, un café et un thé. Je vais pouvoir galoper tranquille je ne risque pas la fringale…

7 h 45 – Mathieu nous rejoint au gîte, on grimpe dans le camion et on le suit vers notre nouveau point de départ.

8 h 10 – Il nous montre au loin le col que nous allons gravir aujourd’hui, j’ai l’impression que c’est à des dizaines de kilomètres… Même pas ! Seulement dix petits kilomètres pour arriver là-haut. Le paysage promet d’être magique encore une fois.

1 à 5 km – Les premiers kilomètres se font entre pistes et petits chemins pour arriver au refuge. On trottine assez souvent, le terrain est vraiment propice à dérouler les gambettes et on voulait voir ce qui nous restait dans les jambes après les deux premières sorties. RAS ! Aucune douleur dans les jambes. On relance, on grimpe les petits raidillons sans souci, toujours le sourire jusqu’aux oreilles, je suis une enfant devant une vitrine de bonbons…

5 à 10 km – On arrive au refuge, on en profite pour refaire le plein des gourdes et se badigeonner de crème solaire. Aujourd’hui ça tape fort et on n’est pas à l’abri des rayons du soleil. Le paysage me laisse sans voix, on ne court plus du tout, il y a beaucoup de passages raides et techniques avec des énormes rochers mais qu’est-ce que c’est beau ! Les lacs que nous contournons sont d’un bleu vert incroyable, la chaleur donne envie de s’y plonger, mais je me souviens que je suis une grande frileuse et qu’à cette altitude je ne suis même pas sûre de pouvoir y tremper un orteil. On continue de grimper…

On arrive à un glacier, je comprends vite qu’il va falloir marcher dessus, et je ne suis pas du tout rassurée… Les garçons m’attendent et me conseillent pour poser mes pieds au bon endroit. Il ne me reste plus qu’un pas pour sortir mes pieds de la glace… « Grrrrr », la neige cède sous mon poids, je descends d’un étage et suis stoppée net dans ma chute par mon derrière qui heurte un rocher… plus de peur que de mal, mais clairement je souhaite vite sortir de là. Une belle éraflure qui deviendra un bleu se dessine sur ma jambe, pas grave, c’est le métier qui rentre… On continue de grimper, ça devient même de l’escalade, j’adore ! On fait une petite halte au bas de la crête, et moi qui bêtement pensais être arrivée…

10 à 15 km – Après encore une petite heure d’effort dans les rafales de vent, on arrive au sommet. J’ai un petit moment de vertige en voyant l’immensité devant mes yeux (je vous en dirai plus dans la partie nutrition, j’ai surtout eu un gros souci niveau alimentation…). C’est bon ; encore quelques pas et WAOUH ! Le Turon de Néouvielle, 3 035 m d’altitude, une vue à 360° sur les Pyrénées, je n’ai pas de mots, je contemple la beauté des lieux sans rien dire. Une famille avec trois petits loups est aussi arrivée au pic en même temps que nous, le plus petit doit tout juste avoir six ans. Ils l’ont fait en plusieurs étapes et les trois frères ont encore de l’énergie à revendre pour faire les pitres. On prend quelques photos et nous voilà repartis pour la descente.

Impossible de courir ou même de trottiner, la descente est super-technique, je fais attention à chacun de mes pas, je trouve impressionnant qu’après de telles distances parcourues ces derniers jours j’aie autant la forme. Je n’ai pas encore eu de coup de pas trop bien, ça m’inquiète et me rassure à la fois, je suis quand même habituée à avoir un petit coup de mou lors de mes sorties. On se rapproche du gîte enfin, la descente était vraiment longue.

Il reste moins d’un kilomètre avant d’arriver au gîte… et là, comme un coup de massue, j’ai un énorme coup de barre… L’arrivée au gîte me paraît interminable alors qu’il est à moins de 10 minutes…

15 à 23,5 km – On refait le plein d’eau, on mange un morceau avant de repartir, je prends conscience que, dans quelques kilomètres, mon séjour à la montagne sera terminé, j’y pense déjà depuis quelques heures… Sans vraiment me l’avouer, je sais que c’est la cause de mon coup de mou. J’essaie de ne pas trop y penser, mais alors qu’on reprend le chemin de la piste pour rejoindre la voiture et descendre en trottinant, cela m’obsède. J’ai des coups de fatigue de plus en plus réguliers, je n’ai plus envie de courir. Je me demande même si je ne vais pas finir en marchant. Je suis agacée et quelques secondes après, je suis prise d’un moment d’effroi, la descente sera une torture pour mon cerveau, à croire qu’il était mieux là-haut…

On finit tous ensemble le dernier kilomètre et on file au bar pour prendre un bon rafraîchissement et bien manger.

C’était un séjour magnifique, le temps était de la partie et notre guide, Mathieu, connaît vraiment bien la montagne, il est reposant de se faire assister aussi professionnellement. Clairement, je ne serais jamais allée seule là-haut aujourd’hui si je n’avais pas été accompagnée par un professionnel.

Côté nutrition et ravito

J’ai voulu complètement changer mes habitudes et m’alimenter plus comme « tout le monde ». On me dit souvent que je mange trop et trop souvent… J’entends beaucoup de personnes dire ne manger qu’une fois par heure : une barre ou une demi-barre. Vu le petit-déj’ que je venais de me taper avant de partir, je me suis dit que j’avais de quoi tenir bon, et puis c’était une sortie surtout randonnée aujourd’hui…

J’ai attendu deux heures pour commencer à prendre une barre par heure, des barres plutôt caloriques entre 160 kcal et 200 kcal. J’ai bien tenu les quatre premières heures et… doucement, j’ai senti la fatigue. Je n’avais pas faim et plus de jus. Petit à petit, j’ai senti que mon corps avait du mal à avancer, je n’avais pas l’énergie constante des premiers jours mais plutôt des petits pics de forme et des gros coups de mou à la fin. Mon corps consomme énormément d’énergie, peut-être plus que d’autres et sûrement plus que beaucoup de personnes de mon gabarit, mais je sais aussi que plus on donne de l’énergie à son corps plus on en a pour avancer. Il n’y a pas de magie, on est une magnifique machine mais si on ne lui donne pas le carburant pour avancer on va beaucoup moins loin. Je suis persuadée qu’une alimentation bien adaptée à notre effort et à notre personne peut nous faire déplacer des montagnes ! C’est pour ça d’ailleurs que j’ai voulu en faire mon métier et vous accompagner d’un point de vue nutritionnel durant vos courses et entraînements. Ces trois jours m’ont permis de tester d’autres modes d’alimentation et d’ajuster au mieux mes besoins.

Côté hydratation, j’ai bu l’équivalent de 1,5 litre environ, toujours avec des prises régulières.

En quelques mots, ce stage a été fabuleux pour moi. J’ai vu des paysages à couper le souffle, j’ai pu me rassurer sur mes compétences physiques et l’enchaînement de trois jours de grimpette. Un grand merci à Mathieu notre guide ! N’hésitez pas à faire appel à lui pour des sorties randonnées ou trails à la journée ou au week-end, il accepte tous les niveaux. Je vous laisse aller faire un tour sur son site internet ou le retrouver sur Facebook.

J’espère que ce compte rendu vous a plu et surtout que je n’ai pas trop perdu la main, même si je sais avoir été très bavarde… En même temps, plus les distances s’allongent, plus j’ai de choses à vous raconter 😉

Awin

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